Voile Nous sommes arrivés le matin dans la cour de l’école, puis nous sommes directement ressortis en direction du car qui venait de pénétrer sur le parking. Une fois que nous, les CM1, ainsi que les CM2 furent installés à l’intérieur du véhicule, celui-ci a démarré. Une demi-heure plus tard, le car s’est arrêté et tout le monde est descendu. On s’est rendu alors devant un bâtiment. Les CM2 se sont installés dans une salle de classe alors que nous, on s’est rendu à l’arrière de ce bâtiment. Deux moniteurs, Camille et Guillaume, sont finalement arrivés. La classe s’est découpée en deux groupes qui sont allés chacun, s’équiper de gilets de sauvetage. Ensuite, nous avons appris à prendre un bateau, c’est toute une organisation ! Six personnes devaient par groupe de 3 attraper un côté du bateau et le porter jusqu’à la rive. Quand tous les bateaux furent descendus, on nous a équipé d’une dérive, une planche en bois qui sert, justement, à ce que le bateau ne dérive pas, un gouvernail, pour diriger l’Optimist ainsi qu’une voile et une pagaie que le moniteur a prises dans son bateau à moteur. On a attaché les bateaux entre eux. Le moniteur nous a montré comment il fallait monter dans l’optimiste. Il faut que quelqu’un mette ses pieds à l’intérieur du bateau pendant que l’autre monte à l’intérieur. Le moniteur a démarré son bateau, ce qui a fait une secousse, et a commencé à nous tirer sur le lac, car on ne pouvait pas encore avancer. Arrivés au centre de l’étang, on s’est arrêté. Le moniteur nous a expliqué des consignes qu’on devait exécuter ou non, en fait, c’était un Jaques Adit a dit. On a dû se lever, se placer à l’avant du bateau, où l’on a constaté qu’il penchait d’un côté. Ensuite, on a pu installer la dérive. On devait réfléchir à l’emplacement de celle-ci. Tout le monde a immédiatement compris qu’il fallait la placer dans l’espèce de trou au milieu du bateau. Pour pratiquement tous les équipages, la dérive s’enfonçait bien, sauf pour un groupe avec qui elle remontait sans cesse. Quelques instants plus tard, on a pu également réfléchir à l’emplacement du gouvernail. Il se plaçait à l’arrière du bateau, sur des petits embouts métalliques. On est arrivé, tant bien que mal à trouver l’emplacement du gouvernail. Après ça, on s’est détaché les uns les autres et on eu le droit d’installer la voile. Elle se plaçait dans un morceau de tuyau de métal. Quelqu’un a dû avancer à l’avant du bateau pour tenir la voile qui venait d’être installée. Ensuite, on a dû faire un aller-retour en choisissant à chaque fois la pagaie ou la voile. Certains groupes ont commencé avec la voile, alors que d’autres ont choisi la pagaie. Quand on est parvenu à l’autre extrémité du parcours, on a fait alors demi-tour et on s’est rendu compte que l’on n’avançait plus. Ceux qui avaient pris la voile à l’aller continuaient d’avancer, contrairement à nous, qui avons continué de faire du sur place. Le moniteur est venu alors nous voir et nous a demandé la raison pour laquelle on n’avançait guère. On lui a expliqué ce que l’on pensait : que le vent soufflait dans le sens inverse de la direction vers laquelle nous étions orientées. Il a approuvé et nous a autorisé à reprendre la pagaie. On est retourné alors vers une bouée orange. Le cours s’est terminé, alors, on a dû retourner sur la plage et laisser les bateaux en place. On a ôté nos gilets de sécurité et on s’est rendu là où on avait déposé nos affaires. Chacun s’est attablé et a commencé à déguster son pique-nique tout en discutant avec ses camarades. A la fin du repas, on a eu un laps de temps pour jouer. Puis, les CM2 ont dû se rendre sur la plage tandis que nous, on s’est rendu dans la salle de classe où les CM2 avaient passé la matinée. On a commencé l’après-midi par des mathématiques. Ensuite, on est passé à la poésie. Durant ce temps, les CM2 faisaient de la voile, comme nous avions fait la matinée. Puis, ce fût malheureusement la fin de la journée, on a dû quitter les lieux pour se rendre dans le car qui devait nous ramener à l’école. On a fait le trajet inverse, en direction de l’école. A notre arrivée, on a dû descendre du car. C’était la fin de la journée. Lise